JEAN-LOUIS MURAT


Dans les loges du Bikini (Salle de concert Toulousaine), après son concert et après de longues parlementations.
I l m’autorise enfin à faire un portrait de lui, mais une seule image me précise-t-il …
Tout en dirigeant le boîtier plastique d’une cassette qui illuminait d’en bas son visage, il répétait d’un air farceur : une seule photo alors t’as pas intérêt à te planter !
Peu à peu, sous l’agrandisseur, il prit la tronche d’un boxeur.
Merci à lui, à sa cassette et à Alain Delage pour leurs aides précieuses.

2 commentaires:

Alain Delage a dit…

Après toutes ces années, je me souviens encore de l'expression que son visage à affiché pendant un moment lors de la séance ...
Un peu comme un animal fourbu au terme d'une traque de chasse à courre, juste avant que les veneurs ne sonnent l'hallali ...
Je crois me souvenir qu'il n'a jamais vraiment aimé les séances photo ...

Valéry Lorenzo a dit…

C'est marrant comme je ne conserve pas un souvenir si dramatisant de cette très très courte séance. La biche ou le sanglier dont tu parles, me semble t'il s'est autoportraituré au moins 100 fois par la suite (ce sont les paradoxes du bonhomme). Je joins le liens pour ceux qui souhaitent mieux connaitre "le Dragon a cent visages"
http://www.jlmurat.com/spip.php?article8
Merci Alain, au passage, pour ton commentaire.