Un an.
Un anniversaire.
Je me souviens de la tempête et de la perte.
Je me disais que je ne pourrais pas tenir plus longtemps, mais je suis ici, à vous écrire.
Plus fort ? Aucune idée.
Mais ici.
Ne sous-estimez pas l’importance de ce que vous représentez à mes yeux et de ce que vous avez représenté, malgré la distance affichée qui me sert de bouclier.
De ce que l’on dit du virtuel, je m’en moque.
Ce que j’ai vu et lu, c’est votre présence, votre soutien discret, pudique.
Votre présence, mon alliée.
J'aime vous lire et je vous découvre.


Une révolution, c’est ce dont il est question.

Mais une révolution silencieuse qui fait couler le sang dans mes veines.

Si je rassemble toutes les initiales de vos prénoms, cela donne ceci :

MERCI INFINIMENT



One year.
A birthday.
I remember the tempest and the loss.
I thought I could not hold it any longer, but I'm here to write to you.
Stronger? No idea.
But here.
Do not underestimate the importance of what you stand for me and what you represented, despite the distance displayed that I use as a shield.
Of the so-called virtual, I do not care. 
What I have seen and read, your presence, your support discreet, chaste.
Your presence, my ally.
I read you and I discovered you.


A revolution is what is at issue.

But a quiet revolution that shed blood in my veins.

If I collect all the initials of your first name, it gives this:

THANK YOU SO MUCH




7 commentaires:

Unknown a dit…

Cela ne fais pas un an que je "fréquente" ce blog, alors le mystère restera sur le sens de cette tempête..., toujours est-il que ce post est très beau et comme souvent c'est un mélange très juste et subtil entre texte - image - musique...

Laurent a dit…

My offer still stands.

Much gratitude and affection.

L

* a dit…

A beautiful song. Your photography continues to inspire, Valery.

Bruce Barone a dit…

so beautiful

tHis is Belgium a dit…

touching, la photo est magnifique,cette fois-ci le texte me touche beaucoup plus en Français qu'en Anglais.

versus a dit…

J' ai cru voir un œil au centre, mais on effeuille pas les yeux. Tout juste les restes de feuillages foutus, ces fétus de paille, comme de grands sourcils, en bataille !
Toujours un immense plaisir à partager votre univers.
Et je n' ai pas un an sur le net !

Groslier a dit…

La preuve que Dieu existe… (?)